Nous venons de créer un pétition en ligne pour ouvrir le débat au Parlement Français. Nous demandons une enquête parlementaire sur ces armes. Cela a trop duré, nous ne pouvons pas concevoir que des plaintes justifiées de harcèlement électromagnétique soient systématiquement classées sans suite ou même pire, que le plaignant se voit interner pour paranoïa ou complotisme délirant.
Pétition : ouverture d’une enquête parlementaire contre le harcèlement électromagnétique
Hier le 2 Octobre 2025 avait lieu la « Nuit du Droit », « À cette occasion a eu lieu une lecture théâtralisée de grands textes conservés à l’Assemblée (minutes du procès de Jeanne d’Arc, manuscrits de Jean-Jacques Rousseau, Serment du Jeu de Paume, discours de Victor Hugo, d’Aimé Césaire, de Simone Veil) » dit le commentaire du site de l’assemblée.
Qu’auraient pensé ces grands hommes du sort réservé aux personnes ciblées ?
N’ont-elles pas, elles aussi, droit à une justice équitable ?
Se draper de mots hautement symboliques, sous les dorures de la bibliothèque de l’assemblée nationale fraîchement restaurée, ne confère pas à la République un blanc-seing pour les décennies à venir.
Le contrat social ne tient qu’à un fil, Il ne suffit pas de célébrer les grands textes.
Jean-Jacques Rousseau dans « Du contrat social, ou Principes du droit politique », publié en 1762 :
« La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu’elle ne peut être aliénée ; elle consiste essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point »
« Il ne suffit pas que les fortunes soient égales par la loi, mais qu’aucun citoyen ne soit assez opulent pour pouvoir en acheter un autre, et qu’aucun ne soit assez pauvre pour être contraint de se vendre.»
Il écrit dans la huitième lettre de « Lettres écrites de la montagne », alors qu’il est en exile en Suisse, chassé par la royauté :
«La justice est le premier besoin des sociétés, et sans elle, aucune ne peut subsister.»
Victor Hugo député en 1848 au parlement prononce pendant les débats du fondement de la deuxième République :
« La justice, c’est la vérité en action »
Il écrit dans les Misérables en 1862 :
« Vous voulez les misérables meilleurs, commencez par les rendre moins misérables. »
« Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers humains… tant que les trois problèmes du siècle — la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, et l’atrophie de l’enfant par la nuit ne seront pas résolus, les livres comme celui-ci ne seront pas inutiles. » Préface des Misérables.
Vous, représentants du peuple, quelles sont vos actions ?
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