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La communauté des victimes de harcèlement par les ondes électromagnétiques ne cessent de croître. A l’heure où la santé mentale de nos jeunes, est une préoccupation nationale, nous ne pouvons rester insensible à ce fléau qui se répand partout. Sur tous les continents, des individus sont pris pour cible mettant en danger leur intégrité physique, mentale et leur dignité en tant qu’humain.

Quelques scientifiques et chercheurs alertent des conséquences de l’emploi des techniques psychotroniques couplées à l’intelligence artificielle sans régulation et consentement individuel. Elles peuvent soigner dans certains cas sous protocoles médicaux bien encadrés mais aussi dévastateurs pour des groupes malveillants les utilisant de manière criminelle :

Ana Brian Nougrères a présenté son dernier rapport thématique au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève – 12 mars 2025 :

Premièrement, nous sommes préoccupés par les violations de la vie privée mentale. Les nouvelles technologies ont la capacité de décoder l’activité cérébrale, ce qui permet d’accéder aux pensées et aux émotions les, plus intimes d’une personne. Sans garanties adéquates, cela pourrait conduire à une surveillance non autorisée, voire à une coercition. Les gouvernements, les entreprises ou les acteurs malveillants pourraient exploiter cet accès pour influencer les décisions personnelles, les comportements et, les idéologies, érodant fondamentalement l’autonomie personnelle et l’intégrité mentale. Deuxièmement, nous nous intéressons à la manipulation et à l’autonomie. La capacité de modifier directement l’activité neuronale introduit le risque de manipulation cognitive.

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Des technologies capables de stimuler certains modèles neuraux pourraient être utilisées pour façonner artificiellement des opinions, des émotions, voire des, souvenirs, soulevant de profondes préoccupations éthiques. Il n’a pas été réglementé. Les individus pourraient perdre la capacité de prendre des décisions indépendantes sapant le principe fondamental du libre arbitre. Troisièmement, nous sommes préoccupés par les risques de discrimination. Le traitement des données neurales ouvre la porte à une nouvelle forme de discrimination, que nous pouvons appeler discrimination neurale.

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Compte tenu de ces défis, il est impératif d’établir des droits neurosociaux, une nouvelle catégorie de droits de l’homme, qui, vise à protéger la dignité et l’autonomie des individus face à ces nouvelles technologies. Mon rapport propose cinq droits fondamentaux. La première est la vie privée mentale, la protection contre tout succès autorisé aux données neurales, la seconde identité personnelle,, la sauvegarde de l’intégrité de l’individu cognitive et émotionnelle. Le troisième, le libre arbitre, en veillant à ce que les individus restent en plein contrôle de leurs pensées et, de leurs décisions. Quatrième mesure de non-discrimination visant à prévenir les biais dans l’accès à l’accès aux neurotechnologies et leur utilisation. Et le cinquième et dernier est l’accès équitable, garantissant que tous les individus, quelque soit leur statut socio-économique, bénéficient, des progrès neurotechnologiques

C’est déjà en œuvre

Nos membres sont déjà « objet d’expériences » sans consentement, ils vivent un enfer au quotidien. Leurs souffrances sont proportionnelles à l’injustice ressentie quand les plus hautes juridictions, les institutions publiques restent muettes à la véracité des faits subis.
Pionniers malgré eux, ils témoignent courageusement. Certains sont hospitalisés de force, quand d’autres sont discrédités, perdant tout soutien.

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Le nombre fait la force.
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